Livre de Mary

Voilà mon livre !!

Soyez indulgentes ^^

Prologue

Soudain, elle se retrouva plongée dans la plus totale obscurité. Elle se tenait debout, immobile. Combien de temps resta-t-elle ainsi ? Assez longtemps pour qu'elle souffrit d'un manque d'oxygène. Elle sentit tout à coup un craquement derrière elle :
- Bonjour fanny. Non, cette voix ! Ce n'était pas possible ! Elle la connaissait bien, c'était SA voix ! Sachant qui l'attendait, elle se retourna et le vit.

Rah 2 seconde ne sois pas si pressé!!!

mdr!

Ne la stresse pas! Very Happy

vas y Mary!

Chapitre 1 (Début)

- Fanny !
En entendant son prénom, Fanny se leva et se mit à courir vers le portail du bosquet pour rejoindre la terrasse, abandonnant ainsi son ouvrage. Aujourd’hui, elle fêtait son anniversaire et elle sentait que quelque chose en elle avait changé, non pas physiquement mais plus en profondeur : c’était comme si un brisement avait eu lieu au milieu de son cœur. Ce n’était ni bien, ni mal, seulement pour l’instant, c’était une attente. De quoi, elle n’aurait pu le dire.
Fanny était une adolescente de quatorze ans normale, mais avec sa taille fine, ses longs cheveux lisses d’un blond vénitien éclatant, ses grands yeux mauves, sa peau telle l’éclat d’une perle rare et sa grâce naturelle dans ses mouvements, elle représentait tout sauf l’idée que l’on se fait d’une jeune fille ordinaire.
En effet, lorsqu’elle marchait dans la rue, elle sentait bien que tous les regards, en particulier ceux des garçons étaient tournés vers elle, cependant cela ne lui faisait rien. Elle s’était habituée et les garçons intéressés la laissaient de marbre : à quoi bon s’encombrer d’un petit ami ? Elle n’y voyait là aucun intérêt et restait indifférente par rapport aux avances que lui témoignaient ses camarades de classe. Mais avant toute chose, elle était surtout respectée, de par sa prestance, sa force car elle avait appris très jeune les arts martiaux, et surtout sa voix. Quand elle parlait, tout le monde était comme hypnotisé : cela lui avait valu le respect des garçons et la haine des filles, jalouses.

trop bon ton premier chapitre, jveu lotre !

Merci

J'adoreee !!!

La suite =)

Bravo !

mais tu ecris super bien !!!! j'aime beaucoup !!

Super chapitre !!

J'adore!
Oui j'ai hate la suite aussi: Twisted Evil

J'ai modifié quelques petites choses donc j'ai remis un passage que j'avais déjà écrit mais d'un autre manière... C'est la suite du chapitre 1 mais pas la fin je pense...

Mais avant toute chose, sa prestance ; sa force, car elle avait appris très jeunes les arts martiaux ; et surtout sa voix angélique, car quand elle parlait toutes les personnes présentes qui l’écoutaient étaient comme hypnotisés, lui avaient valu le respect des garçons et la haine de la majorité des filles, jalouses dans son collège.
Fanny se souvint de son premier jour dans ce collège : c’était il y a environ un an, en milieu d’année scolaire. Elle venait d’emménager à Toulouse à cause du nouveau travail de sa mère. Elle était arrivée, avec son sac sur le dos et à peine entrée dans la classe qu’elle avait vu des regards méfiants se tourner vers elle, des chuchotements incessants et des bouts de papier fuser à travers la salle. A la récréation, elle s’était assise seule sur un banc et regardait les minutes défiler. Mais un dénommé Larry se décida à aller la voir et il l’entraîna dans un recoin sombre de la cour, derrière les toilettes.
- Bon, ici c’est moi le boss, lui avait-il dit, alors tu vas me filer tout ce que tu as sur toi, ton portable, ta montre… Et si t’en parles à quelqu’un, t’es morte !
Sans rien dire, elle avait fait mine de chercher quelque chose dans sa poche mais brusquement, elle lui avait donné un grand coup de pied bien placé suivi d’une grosse frappe dans la nuque de la tranche de la main. Cela avait réussi à le plaquer au sol. Ce Larry fut renvoyé et on n’entendit plus jamais parler de lui. Suite à cet épisode, elle se fit des amis mais aussi des ennemis.
« Ce n’est pas le moment de se souvenir de ça, c’est les vacances alors autant en profiter » pensa-t-elle.
Le temps de ses réflexions, elle était arrivée sur la terrasse où sa mère l’attendait.

Géniallle je veux la suitee moi =(

Moi ausi, vite écrit ma poule, pond nous un truc ! Smile

Allez Mary!!!
La suite!!!!!
& que ça saute!mdr! Very Happy

la suite la suite la suite ... What a Face

Suite et fin du chapitre 1 : (j'ai commencé le chapitre 2 mais c'est assez court, je le mets ?)

- Ah enfin ! Tu étais encore aller te fourrer je ne sais où ! L’apostropha celle-ci.
- Mais non maman, je ne faisais que me promener dans le bosquet, se défendit Fanny.
- Bon, ça ne fait rien. Je voulais juste te montrer certaines choses que je viens de retrouver en nettoyant le grenier.
Sandra Bey était l’unique enfant de deux ariégeois. Sa mère était morte alors qu’elle n’avait que neuf ans. Son père l’avait donc élevée jusqu’à ce qu’elle quitte cette maison pour la grande ville, Toulouse.
Mais aujourd’hui, elle y était de nouveau suite au décès de celui-ci, avec sa fille.
- Bon allez, suis-moi là-haut, lui dit-elle. Tu vas voir, c’est assez en désordre et tout est sale mais c’est un endroit merveilleux.
- Je te suis maman.
Fanny se demanda où elle allait se retrouver et qu’est-ce que sa mère voulait bien lui faire voir de si fabuleux. Elle monta les escaliers et en s’appuyant sur la rampe, elle laissa la trace de sa main.
- Beurk ! Cette maison respire vraiment le vieux ! Tout n’est que poussière…affirma-t-elle.
Puis enfin, après avoir grimpé deux étages, sa mère devant elle ouvrit une vieille porte qui déjà, se distinguait des autres : elle était on ne peut plus simple alors que toutes comportaient de beaux encadrements dorés. Et cela lui plut. Elle s’avança pour voir la pièce, intriguée et elle vit.

bah elle vit quoi ?! Tu va pas nous faire le suspence à la Laue' là!?
vite la suite.
Bien sure que tu met le début du chap 2 même court !
Bisoux et ecrit vite !

LOL oui c'est digne d'un suspense à la Lau'!
Nous t'interdisons de nous faire subir sa!
^^
Bien sur qu'on veux la suite même si c'est pas long!!!!

Ho Mary la suite et vite!

Mais c'est quoi ces histoir mary???? tu vas nous mettre la suite et mintenen non mais!!! mdr
LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Voilà enfin, après un petit mois d'absence le chapitre 2 Very Happy

Chapitre 2

C’était un endroit merveilleux. Sous les combles, le grenier était éclairé à différents endroits ce qui produisait un effet étrange, presque effrayant. Une personne curieuse trouverait son bonheur dans une atmosphère pareille : c’était un véritable caverne d’Ali Baba, il y avait de tout partout ! A côté de la porte, était placé un mannequin portant de multiples chapeaux et foulards, un peu plus au fond, il y avait un grand miroir où l’on pouvait se voir entier et encore plus en arrière, on distinguait une géante armoire et même un lit à baldaquin cassé. Et puis surtout, il y avait une quantité industrielle de coffres, malles et commodes en tous genres dispersés sur le sol. Les murs étaient recouverts d’une tapisserie défraîchie, anciennement rouge vif mais qui maintenant tirait sur un gris rosé. C’était une pièce immense !
Fanny tomba complètement sous le charme du lieu et s’y sentit tout de suite à l’aise.
- Oh Maman ! On se croirait dans un film !
- Je t’avais bien dit que c’était un endroit fabuleux.
La jeune fille se précipita sur un coffre pour regarder à l’intérieur ; elle l’ouvrit : deux candélabres en argent massif et de la vaisselle. La malle à côté contenait de vieux instruments de pêche. Mais un coffre en particulier l’attira : plus solide que les autres et surtout, verrouillé.
- Pourquoi ce coffre-là est-il fermé ? Questionna Fanny.
- Sans doute parce qu’il renferme des choses que ton grand-père de voulait montrer à personne. Tout le monde a ses petits ou gros secrets tu sais.
Sandra pensa qu’elle était bien placée pour le comprendre.
- Oui peut-être mais ça n’empêche que j’ai très envi de savoir ce qu’il y a dans ce coffre. Mais il faut d’abord que j’aie la clé ! Tu ne saurais pas où elle se trouve par hasard ?
- Non mais je crois me souvenir d’une chose à propose de ce coffre : ton grand-père avait l’acheté pour ta naissance. Enfin, je ne vois pas le rapport avec le fait qu’il soit fermé et la clé introuvable.
- Maman s’il te plait ! Fais un effort et essaie de te rappeler ! Pourquoi Papinou aurait acheté ce coffre à ma naissance et l’aurait cadenassé, mis au grenier en enfermant tous ses secrets ?
- Je n’en sais strictement rien…
- Il y a forcément un rapport entre moi et ce qu’il y a à l’intérieur !
- Fanny, tu as vraiment une imagination galopante alors arrête d’inventer des aventures ou je ne sais quoi ! Ca n’existe pas et ce n’est que dans les films !
- Non mais tu m’écoutes ou pas ? Je suis sûre que ça cache un truc pas net ce coffre et je suis aussi persuadée que tu sais où se trouve la clé mais que tu refuses de me le dire !
- Tu ne me parles pas comme cela ! Je suis ta mère Fanny !
- Oui et bien pour une mère tu me caches beaucoup de choses dis moi !
- Bon allez, maintenant ça suffit ! Tu descends tout de suite, tu vas dehors et tu me laisses ranger ce grenier tranquille !
- Ah et ben c’est beau tiens le jour de mon anniversaire ! Déjà que tu m’as obligé de venir AUJOURD’HUI dans ce trou perdu, tu ranges le grenier ! Merci, oui vraiment merci ! Quel bel anniversaire, je m’en souviendrais !
- Fanny maintenant tu te calmes OK ?
- Non je ne me calmerais pas jusqu’à ce qu’on sera rentrée à Toulouse voilà !
Sandra avait jusque là réussit à retenir son coup mais l’insupportable rébellion de sa fille eut raison d’elle et la gifle partit toute seule droit sur la joue de sa fille.
- Tu crois que j’ai eu le choix de t’emmener ici ? Tu crois vraiment que si je t’aurais emmener dans cette maison le jour de ton anniversaire si… si….
Elle ne put continuer, tomba à terre et le reste de sa phrase se finit dans un sanglot : la mort de son père était encore trop récente pour qu’elle puisse s’en consoler et l’évoquer.
- Oh non Maman ne pleure pas ! Je suis désolée de toutes les choses cruelles que je t’aie dites, je ne les pensais pas et c’est sorti tout seul !
Fanny s’agenouilla devant sa mère et la prit dans ses bras. Elle était certes, une adolescente rebelle avec un caractère de garçon manqué, mais elle n’en restait pas moins très proche de sa mère.
- C’est moi qui devrait m’excuser : tu as raison je n’aurais jamais du venir ici aujourd’hui avec toi. Mais je n’avais vraiment pas le courage d’y aller toute seule.
- Ce n’est pas grave Maman ! Tu m’as fait découvrir ce grenier et pour moi, cela valait largement le détour, la rassura sa fille.
- A ce propos, j’ai un cadeau pour toi : c’est quand même ton anniversaire et avoir quinze ans, ce n’est pas rien !
Elle sortit de sa poche un carnet d’une taille moyenne avec une couverture vernis violacée.
- Comme ça, il est assorti avec tes beaux yeux, déclara Sandra.
- Oh merci énormément ! C’est un cadeau merveilleux.
- Tu verras, chaque semaine tu auras une surprise.
- C’est vrai ? Il me tarde de voir ça ! s’exclama Fanny.
La jeune fille rayonnait de joie, elle était ravie de son cadeau. Cependant, une ombre voila ses yeux quelques centièmes de seconde : elle était bien décidée à trouver cette clé car elle sentait que contrairement à ce que soutenait sa mère, le contenu de se coffre avait une importance capitale pour elle. Elle affichait désormais un air de détermination féroce.

Enfin!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

mdr mersi Mary c'est trés bien!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Mary????? quand vas tu te décider a nous mettre la suite???????????????
je vais me facher!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
MET NOUS LA SUITE!!!!!!!!!!!!!

J'adore !!
Mais ... cela fait plus de 4 mois que tu as commencé ton histoire et ne la jamais fini !!
POURQUOI ?!
Donc, je te demande s'il est possible d'avoir la suite a cette histoire qui a très bien débuter ?!

Moi aussi j'aimerais bien l'avoir!!!
Mais sa fait longtemp que j'ai perdu espoir que l'un de nos nombreux écrivain nous mette la suite de sa fiction!!!!

Sujet: Re: Livre de Mary Sam 31 Oct 2009 - 20:30

Chapitre 3 :

- Je déteste vraiment la voiture, ça me donne mal à la tête, c'est atroce, déclara Fanny.
- Je sais mais nous sommes bien obligées de rentrer en voiture à Toulouse car nous ne pouvions pas rentrer à pied quand même, plaisanta sa mère.
- Effectivement cela paraissait difficile ! Quand reviendrons-nous dans la maison de grand-père ?
Fanny tenta une approche :
Je suis vraiment très intriguée par ce coffre verrouillé...
- A vrai dire, je compte vendre cette maison.
"Pour me débarrasser définitivement de mes vieux fantômes" pensa-t-elle.
Fanny se décomposa :
- Non, ce n'est pas possible, tu ne peux pas faire ça ! Tu ne te rends pas compte Maman cette maison est tout bonnement fabuleuse ! Je t'en prie, garde-là !
- Fanny tu dois comprendre qu'en ce moment, nous ne nous trouvons pas dans la meilleure situation financière et l'argent que nous rapporterait cette vente tomberait à point nommé. De toute façon, acheva Sandra, nous n'aurons jamais le temps d'y retourner.
- Mais si, pour les prochaines vacances et on peut faire des économies.
- Les prochaines vacances sont dans quatre moi. Maintenant, tu dois te concentrer sur le collège, la détourna Sandra.
- Je n'ai vraiment pas envi d'aller au collège tu sais...
- Tu vas retrouver tous tes amis, et puis tu as de la chance de pouvoir aller à l'école car dans le monde, tous les enfants ne peuvent pas et...
- Oui oui, ce n'est pas la peine de partir dans un discours enflammé, la coupa la jeune fille. En plus, mes amis se résument à Clara et Paolo ! Et, j'ai failli oublier, je vais retrouver cette chère Anaïs. Elle m'a tellement manqué...
- Tu es vraiment négative parfois. Après tout, Miss Anaïs de la Salletière n'est pas... enfin elle est... bref !
Elles se regardèrent et pouffèrent.

. . .

A peine arrivée dans sa chambre, Fanny n'eut qu'une envie, avant même de ranger ses bagages : découvrir son carnet. Elle ouvrit sa valise, à la recherche de l'objet convoité et le trouva tout au fond sous des montagnes d'affaires. La pièce était un vrai fouillis.
Malheureusement, elle s'aperçut qu'elle n'avait pas la clé de ce carnet.
"Encore un problème de clé" grommela-t-elle.
Elle alla voir sa mère qui se trouvait à l'autre bout de l'appartement. Malgré tout, elle se tint devant Sandra en quelques secondes car il n'était pas très grand : une porte d'entrée donnant sur un couloir, lui-même donnant sur la pièce de séjour, une cuisine, et de l'autre côté, les chambres et la salle de bain. Il avait toutefois un gros avantage : une grande terrasse avec vue sur un magnifique parc, le Jardin des Plantes. Il était confortable et à deux, on y était tout à fait à l'aise.
- Ma chère petite maman, tu as oublié de me donner la clé du carnet...
- Oui tu as raison, excuse-moi.
Sandra fouilla dans son sac à la recherche de cette clé :
- Tiens, là voilà !
- Merci.
- Et essaye de ne pas remettre ta chambre en désordre tout de suite. N'oublie pas que demain, c'est la rentrée au collège après deux semaines d'absence ! Recommanda la mère à sa fille.
- Ne t'inquiète pas, elle est parfaitement rangée ! lui répondit-elle.
"Enfin presque..."
De retour dans sa chambre, elle s'allongea sur son lit double et s'installa confortablement, calant un oreiller derrière sa tête, le carnet à la main.
"Enfin, ce n'est pas trop tôt"
Cependant, elle remarqua un détail qui l'arrêta au moment où elle allait glisser la clé dans la serrure du livre ; cette clé était surmontée d'un masque ou peut-être était-ce une tête de gargouille mais tout ce qui était sûr c'est que c'était un monstre des plus affreux. Il avait quelque chose d'effrayant. Elle s'approcha alors de la couverture du carnet et passa son doigt dessus : il y avait du relief mais elle ne distingua pas ce que cela représentait.
"Bon, cette fois-ci, je l'ouvre !"
Elle ouvrit alors le vieux carnet et une brusque bourrasque de vent s'engouffra dans la pièce suivie d'un éclair violet qui illumina sa chambre telle une onde boréale mais l'instant d'après, la lumière merveilleuse avait disparu.
Plus rien.
la fenêtre était à peine entrouverte.
Fanny alla voir dehors : pas le moindre souffle de vent. Elle se retourna et vit une source de lumière provenant de son lit. Elle regarda de plus près, les traits du relief de la couverture étaient comme une guirlande lumineuse qui formait la monstrueuse tête, qui ornait également la clé.
"j'ai déjà vu cette tête quelque part mais où ?!" se demanda-t-elle.
Fanny reprit le journal dans ses mains et le feuilleta. Les pages étaient jaunies sur les bords. Le temps avait laissé sa trace. les pages étaient aussi vierges. La jeune fille en fut presque déçue.
"Mais tu t'attendais à quoi ma vieille, à d'anciennes inscriptions, une carte merveilleuse ? Ne rêve pas..."
Soudain, elle écarquilla les yeux en voyant les pages du journal : ses pensées exactes étaient inscrites dessus. Elle émit un cri de surprise. Sa mère accourra dans la chambre et ouvrit brutalement la porte :
- Que se passe-t-il ? s'écria Sandra.
Fanny ferma le carnet et le mit prestement sous son oreiller.
- Rien, il ne se passe rien.
- Mais tu as crié pourtant, je t'ai entendue !
- C'est juste que je me suis coincée le doigt dans le coin de la porte mais ça va, je ne me suis pas fait mal. J'ai juste crié par réflexe, ne t'inquiète pas Maman.
- Bon ça va alors, c'est sûr ?
- Oui c'est bon, tu peux partir maintenant.
- Le dîner est bientôt près...
- D'accord, j'arrive.
Sandra s'éloigna vers la cuisine. Fanny reprit le carnet et revint à la page où s'étaient écrites ses pensées. Toute sa conversation était maintenant là, à la suite ! Elle resta un petit moment à contempler les pages. Sa mère la rappela pour lui dire de venir à table.
Fanny cacha son journal sous son matelas et sortit de sa chambre. Elle se promit d'en savoir plus.

Sujet: Re: Livre de Mary Dim 1 Nov 2009 - 21:51

MERCI!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ba c'est pas trop tot!!!! XD
J'ador, comme tj!!

La suite ti caneton!!!!
XD

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