Votre personnage
Nom
et Prénom de votre personnage: denali Eleazar
Age (réel et
apparence) : 19 et +300 ans environ
Clan : denali
Humain,
vampire, loup garou ? :vampire
Caractère (env
4,5 lignes) : ersévérant, plus ou moins loyal et fidèle, Eleazar est un homme qui tire
son aura de sa distance et de son vocabulaire précis pour lequel il ne
fait jamais preuve d’empathie. Il part du principe que ce qu’il a dit un
jour est connu et maîtrisé de tous et, de ce fait, il ne prend pas la
peine de s’attarder sur des détails qui pourraient ralentir son avancée.
Loin d’être fair-play, ce vampire resté sportif ne supporte pas
l’échec et encore moins la critique négative (surtout lorsque celle-ci
est justifiée).
Cependant, il est habitué à respecter certaines
femmes et à leur témoigner la gratitude due à leur rang. Ses bonnes
manières font de lui un être différent, même s’il peut parfois se
montrer un peu macho voire sexiste en société...
Mesquin, revêche et
méprisant sont les trois adjectifs qui viennent d’abord à l’esprit à
quiconque rencontre Eleazar pour la première fois. Freud vous le dirait
pourtant, cette attitude cache une blessure… et non la moindre. Dès son
entrée dans le monde vampire, en effet, quelque chose s’est brisé en lui
et pour panser cette plaie intérieure, Denali a choisi de penser à la
manière dont il ferait mourir toute personne qui ne lui plaisait pas.
Ainsi, à l’époque, il valait mieux être son ami que son ennemi… Mais
pourtant, il n’était pas très sain pour vous de devenir son ami :
certes, Eleazar peut être sincère et efficace en amitié, mais au moindre
faux pas de votre part, attendez-vous à recevoir une dague vengeresse
entre les deux yeux ! Disons que votre amitié vous aura alors épargné la
torture physique et psychologique qui n’aurait pas manqué d’avoir lieu
si vous n’aviez été de son côté.
Soit. Denali n’est cependant pas un
pur méchant, comme on pourrait le croire. Il lui est arrivé à plusieurs
reprises de se montrer bon et généreux… Tout dépend des circonstances
et de son humeur du moment, en réalité. Mais la chose se fait rare ces
temps-ci. Il faut dire qu’Eleazar n’a pas vraiment de raison d’être
suffisamment heureux pour vouloir partager ça. De toutes manières, il
est solitaire et malgré cela, il aime sa vie comme elle est
actuellement.
Denali possède le goût du travail bien fait et de la
culture.
Qualités. Eleazar est un homme intelligent et
efficace. Il a de bonnes connaissances culturelles et n’est en rien l’un
de ces pleutres flagorneurs. Ce qu’il considère comme une force, c’est
sa sincérité. Il est réaliste et ne se perd que très rarement en
illusions. C’est un homme de bon sens. Il prend bien souvent le parti de
ne pas s'imposer, mais Denali est un rusé qui arrive tout de même à ses
fins, quelles qu'elles soient. Il a une aura impressionnante. Il est
aussi discret et ne révèle jamais à personne ce qu'il fait, ce qu'il a
fait ou ce qu'il fera... Il est perfectionniste, intelligent et
inventif. Il ne cesse de chercher la solution à un problème que
lorsqu'il l'a trouvée. Il est aussi très charismatique et assujettit
sans problème tout manque de respect.
Défauts. On a beau être
quelqu’un de foncièrement admirable, lorsqu’on est légèrement
misanthrope, revêche et mesquin, ça n’aide pas pour se créer un tissu
relationnel valable. Il est sarcastique, cynique, froid et injuste. Il a
toujours une parole blessante pour quiconque cherche à le prendre en
défaut. Son sardonisme n'a d'égale que sa capacité à répliquer de
manière froide et distante. Il a tendance à ne rien croire sur la base
unique de témoignages humains. Discret, oui, mais très évasif dans ses
discours personnels, il est clair que Denali ne parle de lui que
lorsqu'il y est forcé...
Histoire (env 10,15 lignes):
Eleazar Denali est né en Espagne, au XIIIe siècle. Sa famille n’avait
rien de spécial, son père était un artisan menuisier et sa mère
préparait la paëlla divinement bien. Enfant, Eleazar connut la chance de
pouvoir assister à des combats entre catholiques et musulmans, jusque
dans sa ville. Il voulait lui aussi, un jour, prendre les armes et
libérer son pays de tout contrôle extérieur. Ce qu’on a plus tard appelé
la « Reconquista » était le rêve même du petit Denali. À l’âge de seize
ans, il s’arma pour défendre sa patrie, sachant pertinemment que
Grenade n’était pas encore libérée de l’oppresseur. C’est sur le chemin
qu’il parcourait à cheval, qu’Eleazar fut agressé par une bande de
brigands qui lui volèrent tout, absolument tout. Honteux de se retrouver
nu et sans rien, il n’osa pas rebrousser chemin et préféra s’enfoncer
dans les bois où il rencontra un ermite qui lui apprit beaucoup. Ce
vieil homme, Maître Felipe, avait l’air jeune, mais semblait en même
temps connaître beaucoup trop de choses pour ne pas être multiséculaire.
Eleazar
ne comprit que bien plus tard de qui il s’agissait.
Les années
passant, l’adolescent devint véritablement un homme. Il avait choisi de
vivre avec cet ermite qui avait tant de choses à lui apprendre. Vivant
de chasse essentiellement, Denali acquit un certain talent pour pister
les animaux et repérer les bruits incongrus qui n’avaient rien à faire
dans la forêt. De temps à autre, il faisait un saut au village le plus
proche pour vendre quelques peaux et acheter des produits qu’il n’était
pas possible de se procurer en forêt. Vin, tissus et métaux.
Cette
vie dura près de trente ans. À l’époque, avoir 46 ans, c’est déjà
presque être un vieillard… et Maître Felipe finit par offrir à Eleazar
sa vie, la vraie. Celle qui allait vraiment commencer…
Devenu
vampire en décembre 1307, Eleazar commit ses premiers meurtres dans les
environs de la forêt où il vivait avec son maître. Il avait toujours
soif, jamais rien ne le rassasiait et il était avide de sang comme
d’autres le sont d’or. Pour éviter d’éveiller la colère de Felipe,
Denali chassait de plus en plus loin. Il constatait ainsi que sa
rapidité était nettement accrue et que ses capacités physiques et
mentales n’étaient plus tout à fait les mêmes non plus.
Il ne
ressentait que de la haine pour toute forme de vie, lui qui n’avait plus
le droit de dormir, de boire autre chose que du sang. Tous les plaisirs
qu’il aimait sincèrement lui étaient refusés, ou presque tous. Il
apprit beaucoup durant les 150 premières années de son existence de
vampire. Son maître était là pour ça. Mais un jour, alors qu’Eleazar
revenait d’une petite escapade qui s’était soldée par une charmante
rencontre féminine – qui fut délicieusement habile et apte à occuper
Eleazar pendant un certain temps – qui finit tout de même par servir de
repas, le Maître eut une parole déplacée. La fierté d’Eleazar était ce
qui lui importait le plus à l’époque et il fut profondément blessé de ce
qu’on lui reprochait sa conduite. L’idée de vengeance germa et fut
alimentée comme il se devait. La rage grandissante eut son coup d’éclat
lorsque, de la façon la plus traître qui soit, Eleazar frappa Felipe
dans le dos, avant de l’entailler sérieusement et de finir par brûler la
chaumière du Maître. Les paroles que prononça Denali respiraient la
haine et la rancœur, tandis que son orgueil blessé hurlait sa joie.
En
1492, il participa au sauvetage de la ville de Grenade. Les Maures
furent jetés hors d’Espagne et Eleazar put se repaître de leur sang à
même les champs de bataille. Mais sa conduite attira l’attention de
quelque haut gradé qui répondait au nom de Volturi. Un éminent Italien
qui fit à Eleazar l’insigne honneur de le prendre sous son aile pour
faire de lui quelqu’un de bien. Ou en tout cas, quelqu’un de mieux. Le
Quattrocento italien ravit l’Espagnol qui apprécia pleinement la
Renaissance (tant dans l’art que la sienne, au fond). Les vampires
pouvaient protéger l’art et apaiser leur soif en même temps. Il fallait
rester intouchable. Être vampire devint un honneur.
Les Volturi
intégrèrent Eleazar à leur garde. Il découvrit à cette époque qu’il
était capable de percevoir les dons particuliers que pouvaient avoir les
vampires qui l’entouraient.
Denali resta en Italie longtemps.
Il ne quitta les Volturi que lorsqu’il tomba amoureux d’une humaine,
Carmen, qu’il finit par transformer. Avec elle, il prit la direction de
l’Alaska où ils s’établirent. Avec le temps, Eleazar avait pris petit à
petit l’habitude de ne plus attaquer les humains et de se contenter
d’animaux. C’est cette particularité de son régime alimentaire qui le
rend proche de Carlisle Cullen et de sa famille. Voilà à présent déjà
presque un siècle qu’ils vivent là, lui et Carmen, et qu’ils ont adopté
trois filles…
Vous
Qui
est derrière le PC ? moi xD
Age:14
Code
du forum (OBGLIGATOIRE) : j'ai cherché le code dans les regle mais je les pas trouvé desole
Accueil
Connexion
Sam 5 Juin 2010 - 15:23
.
.